lundi 19 octobre 2015
lundi 28 octobre 2013
mercredi 8 juin 2011
Retour d'Israël
samedi 14 mai 2011
Dernières nouvelles
mardi 15 juin 2010
Merci aux organisateurs de nous avoir préparé cette magnifique virée parfaitement équilibrée entre les activités festives et intellectuelles
Le temps, meilleur que pronostiqué, nous a permis de découvrir ce pays verdoyant et divers.
Partis à la recherche de nos racines, nous avons découvert des ancêtres qui malgré les tristes évènements qu’ils ont vécu, ont toujours su repartir avec optimisme et construire sur des bases nouvelles ; ces rencontres avec leurs représentants, qui n’auraient pas été possibles avec un voyage touristique banal, nous ont particulièrement enrichis :
A Bayonne, les marranes qui chassés d’Espagne par l’Inquisition, ont su servir de pont entre les divers exilés et localement se sont investis dans le chocolat.
A Orthez les protestants qui après de lourds avatars ont su s’investir dans l’éducation et une laïcité bien comprise.
A l‘abbaye de Belloq et à l’Hôpital saint Blaise, les traces des pèlerins, qui sur les chemins de Compostelle créaient une culture européenne commune.
Nous avons aussi découvert les trésors locaux en flânant dans les rues de saint Jean de Luz, visitant les églises et les musées et achetant les délicieux produits locaux chez les commerçants dont nous nous passions les adresses les uns aux autres
mercredi 11 novembre 2009
Voyage à Prague
dimanche 5 avril 2009
Paques et Pessah
Pessah est un passage qui a permis de prendre conscience du côté néfaste du totilatarisme de pharaon et de libérer un peuple amené à la découverte de lui même sous le regard de Dieu; L'apport de la Torah donnée 49 Jours plus tard à Chavouot ( pour les chrétiens Pentecôte) implique la libération de nos âmes et nous conduit à nous impliquer dans l'achêvement de l'oeuvre de Dieu et dans la transmission de ces valeurs à nos enfants
Pour les chrétiens le repas Pascal de Jésus n'est pas une transposition exacte de celui de Pessah, mais l'annonce de sa résurrection et de sa présence vivante parmi nous à l'eucharistie et dans tous les jours de notre vie. La veillée pascale remise à l'honneur par Pie 12 en 1951 nous permet de mieux en appréhender le sens et d'entrer en communion avec Jésus
lundi 30 mars 2009
Paul et Jésus:les raisons de la rupture
jeudi 27 novembre 2008
Petite rétrospective de nos derniers voyages
Tous ces lieux de culte, ces monastères, ces châteaux que nous avons visités, tous ces objets qui y sont conservés après avoir traversé les péripéties des années et des siècles, nous donnent matière à scruter le passé. De surcroît, si les conférenciers et les guides du cru nous y aident, et ce fut le cas, toutes les conditions sont alors réunies pour nous approprier la beauté et la richesse de ce patrimoine d’art et de culture et nous permettre une meilleure compréhension de l’Histoire. C’est que ces œuvres d’art ne sont pas là que pour la décoration, mais nous livrent mille détails qui nous invitent à lire le passé.
Mais, qu’en est-il des synagogues où l’iconographie exclut toute représentation humaine ? Car, en effet la tradition juive conserve la crainte de la tentation idolâtre. L’illustration existe néanmoins, mais seulement sous forme verbale, la métaphore étant préférée à l’allégorie picturale, le langage biblique à sa représentation figurative. C’est ainsi que nous trouvons fréquemment peints ou sculptés dans les synagogues des versets ou seulement des fragments de versets bibliques qui évoquent pour le fidèle bien des choses présentes dans la liturgie. Comment ces versets ont-ils été choisis ? Sont-ils, à l’instar de la conception et de l’architecture des édifices, en relation avec l’histoire des communautés qui les ont construits en leur temps ? Il y a peu de risque à répondre par l’affirmative.
Attachons nous à un détail présent dans chacune des trois synagogues visitées : Cavaillon, Amsterdam et Strasbourg :
À l’opposé, la communauté juive d’Amsterdam au 18ème siècle est florissante et prospère. Elle est issue de ceux qui, deux siècles plus tôt ont été contraints de se convertir au christianisme, et qui ont gardé cette apparence pendant plusieurs générations. Leur fierté ne sera totalement recouvrée que quand ils retrouveront complètement la religion de leurs ancêtres. Le travail est immense et nécessite des moyens. Or, en s’enrichissant les tentations sont grandes de s’éloigner de ses valeurs spirituelles. En pénétrant dans la plus grande synagogue du monde, le fidèle peut lire une allusion au psaume 5 verset 8 : « et moi, grâce à ta grande bonté, j’entre dans ta maison… (Et je me prosterne dans ton saint temple, pénétré de ta crainte ; Dirige moi vers ta justice) » L’édifice est riche mais austère voir sévère, l’atmosphère y est stricte. Le fidèle y puise les ressources spirituelles qui le dirigeront par le droit chemin dans sa vie religieuse et dans sa vie profane.
On perçoit la similitude des situations.